Carte des ambassadeurs de la Déclaration Universelle des Droits de l'Humanité

Ambassadors of the Universal Declaration of Human Rights

The Universal Declaration of Human Rights (UDHR) is represented by some 50 ambassadors in 16 different countries.

This list includes the 11 members of the Board of Directors of the Friends of the HRDu who are very active ambassadors.

Most of the ambassadors are connected with European entities, but some represent the Declaration on most of the continents of the world, notably in America, Africa but also in Asia.

Like Humanity, our ambassadors come from very diverse and complementary backgrounds. They belong to the legal, political, diplomatic, associative, economic and academic worlds, etc.

Click here to see the complete list of HRDu ambassadors and their distribution around the world.

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You too can become a signatory of the Universal Declaration of Human Rights and join the team of ambassadors of the UDHR!

You can also support the Universal Declaration of Human Rights Association by making a donation at the following link:

https://droitshumanite.fr/don/

Carte des ambassadeurs de la Déclaration Universelle des Droits de l'Humanité

Les ambassadeurs de la Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité

La Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité (DDHu) est représentée par une cinquantaine d’ambassadeurs répartis dans 16 pays différents.

Cette liste comprend les 11 membres du Conseil d’Administration de l’association des Amis de la DDHu qui sont des ambassadeurs très actifs.

La plupart des ambassadeurs sont en relation avec des entités européennes mais certains représentent la Déclaration sur la plupart des continents du globe, notamment en Amérique, en Afrique mais également en Asie.

A l’image de l’Humanité, nos ambassadeurs viennent d’horizons très divers et complémentaires. Ils appartiennent aux mondes juridique, politique, diplomatique, associatif, économique et académique, etc.

Cliquez ici pour voir la liste complète des ambassadeurs de la DDHu et leur répartition dans le monde.

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Vous pouvez également soutenir l’Association de la Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité en faisant un don au lien suivant :

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L'intervention de Corinne Lepage au Forum Women Leaders in Ecology and Development

Presentation of the Declaration at the Women Leaders in Ecology and Development Forum

The Declaration was presented at the 2018 Women Leaders in Ecology and Development Forum held in China on July 6.

The presentation of the Declaration was made in the presence of Corinne Lepage, President of the ADDHu and Nicolas Imbert, Administrator of the ADDHu.

 

The necessity, the urgency of a paradigm shift in ecological governance … towards multilateralism and new legal bases

“The climate challenge, which can tip humanity into an unpredictable world and which may ultimately be suicidal for the human race itself, calls for a surge of responsibility and therefore for commitments that concern all individuals, all communities and all States. “.

“The unprecedented challenge we are facing invites us to change our paradigm and to imagine another form of governance, one that is based both on multilateralism and on new legal foundations, capable of underpinning our common responsibility. “.

 

The Universal Declaration of Human Rights (UDHR), a new tool, a common basis…

“Binding nature and humanity together, the principles of the Declaration establish the responsibilities of all and therefore of each individual, whether a natural or legal person, public or private, national or international.

“Because it is a Declaration of the Rights and Duties of Humanity, the DDHu is a common basis, which is not attached to a particular culture or civilization, which does not stigmatize, which does not condemn.”

“But it is an essential foundation for that everyone recognizes his or her responsibility and accepts to commit to the common defense of the human species and the other species that share our planet. ”

Corinne Lepage explained that “It is about the awareness by humanity, in its diversity, of the unity of the problems it faces even if the responsibilities and means of each are not equivalent.

“Integrating at once the ecological challenges, the challenges of development, of peace, and those of technological revolutions, the Declaration aims to encompass the multiple responsibilities that our generation has for those that come before, but also for those that go before.”

Support and latest advances of the Declaration

  • The Declaration has now the support of the former UN Secretary General Mr. Ban Ki-Moon and has been presented to the European Economic and Social Council.
  • The Pacific Forum adopted a declaration in early May 2018 to make every effort to have the text adopted by the various parties before the end of the year.
  • Associations of parliamentarians in Europe, around the Mediterranean, in the French-speaking world have taken up the issue. Numerous European and African bar associations support it, as well as federations of lawyers, including the International Conference of Bars and Law Societies of common tradition.
  • Then, the academic world with the University of Modena being the first signatory, followed to this day by the network of major business schools in Lyon, the International Institute of Francophonie and the Leopold Senghor Chairs, and several universities in France, Europe and the United States.
  • The world of NGOs, including Green Cross France and Territories, OMECA, an organization recognized by the UN and accredited Ecosoc, and many personalities from the world of the environment are signatories. About a hundred companies and economic organizations have joined the movement in which some states are also beginning to take an interest.
L'intervention de Corinne Lepage au Forum Women Leaders in Ecology and Development

La présentation de la Déclaration au Forum Women Leaders in Ecology and Development

La Déclaration a été présentée lors du Forum Women Leaders in Ecology and Development 2018 qui se tenait en Chine le 6 juillet.

La présentation de la Déclaration s’est faite en présence de Corinne Lepage, Présidente de l’ADDHu et de Nicolas Imbert, Administrateur de l’ADDHu.

 

La nécessité, l’urgence d’un changement de paradigme en matière de gouvernance écologique … vers un multilatéralisme et de nouvelles bases juridiques

« Le défi climatique, qui peut faire basculer l’humanité dans un monde imprévisible et qui peut être à terme suicidaire pour l’espèce humaine elle-même, nous appelle à un sursaut de responsabilité et donc à des engagements qui concernent tous les individus, toutes les collectivités, tous les États. ».

« Le défi sans précédent auquel nous sommes confrontés nous invite à changer de paradigme et à imaginer une autre gouvernance qui repose elle-même à la fois sur le multilatéralisme et sur des bases juridiques nouvelles, capables de fonder notre responsabilité commune. ».

 

La Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité (DDHu), un nouvel outil, une base commune…

« Liant la nature et l’humain, les principes de la Déclaration fixent les responsabilités de tous et donc de chacun, personne physique ou morale, publique ou privée, nationale ou internationale. »

« Parce qu’elle est une Déclaration des Droits et des Devoirs de l’Humanité, la DDHu est une base commune, qui ne se rattache pas à une culture ou une civilisation particulière, qui ne stigmatise pas, qui ne condamne pas. »

« Mais, elle constitue un socle indispensable pour que chacun reconnaisse sa responsabilité et accepte de s’engager dans la défense commune de l’espèce humaine et des autres espèces qui partagent notre planète. »

Corinne Lepage a expliqué qu’« Il s’agit de la prise de conscience par l’Humanité, dans sa diversité, de l’unité des problèmes auxquels elle est confrontée même si les responsabilités et les moyens des uns et des autres ne sont pas équivalents. »

« Intégrant à la fois les défis écologiques, les défis du développement, de la paix et ceux des révolutions technologiques, la Déclaration vise à englober les responsabilités multiples qui sont celles de notre génération à l’égard de celles qui viennent mais aussi à l’égard de celles qui précèdent. »

Les soutiens et dernières avancées de la Déclaration

  • La Déclaration a aujourd’hui le soutien de l’ancien secrétaire général de l’ONU Monsieur Ban Ki-Moon et a été présentée au Conseil économique et social européen.
  • Le Forum du Pacifique a adopté au début du mois de mai 2018 une déclaration visant à faire tous les efforts pour que le texte puisse être adopté par les différentes parties avant la fin de l’année.
  • Des associations de parlementaires s’en sont saisi, en Europe, autour de la Méditerranée, dans le monde de la francophonie. De nombreux barreaux, européens, africains, la soutiennent ainsi que des fédérations d’avocats dont la Conférence Internationale des Barreaux de tradition commune.
  • Puis, le monde académique avec l’Université de Modène première signataire, suivie à ce jour du réseau des grandes écoles de commerce de Lyon, de l’institut international de la francophonie et des Chaires Leopold Senghor, de plusieurs universités, en France, en Europe, aux États-Unis.
  • Le monde des O.N.G. avec notamment Green Cross France et Territoires, l’OMECA, organisation reconnue par l’ONU et accréditée Ecosoc et celui de très nombreuses personnalités du monde de l’environnement est signataire. Une centaine d’entreprises et organisations économiques ont rejoint le mouvement auquel certains États commencent également à s’intéresser.
Rencontres économiques

The presentation of the Declaration at the 2018 Aix-en-Provence Economic Forum

The Universal Declaration of Human Rights was presented at the Rencontres Economiques d’Aix-en-Provence on July 8, with the main theme: Taking our future in hand. It was presented more specifically in session 27: “What governance in a world shaken by climate change? This session addresses the refusal of the Paris Agreement by the United States and questions the “governance of climate change induced problems” to be adopted.

Within the framework of this event, the following written contribution was communicated.

08/07/2018

Author : Corinne Lepage

 


A TRIPLE OBSERVATION

 

Climate disruption is on the way to turning the world upside down: the succession of extreme weather events with their human tragedies and astronomical costsAccording to the Oceanic and Atmospheric Agency, this means 306 billion dollars and according to the reinsurer Munich Re 330 billion dollars for the year 2017, that is to say a record of more than double the cost of the year 2016, that is to say 1720 dollars per second, the rise of the phenomenon of migration with its political consequences, the increasing difficulties of feeding. But the world continues to increase its greenhouse gas emissions, despite increasingly alarming reports from climate and biodiversity scientists.

The observation is that global climate governance is relatively powerless

Current governance is powerless to respect and enforce the commitments made in the Paris AgreementThe two processes that should be concluded in 2018 are: the affirmation of the Rulebook on North-South cooperation mechanisms and the Talanoa dialogue to make a first blank assessment of the contributions of States under the Paris Agreement.

  • First of all, the States that have been reluctant to define their INDCs (Intended Nationally Determined Contributions), and especially at a level compatible with the Third Assessment and, on the contrary, with the climate emergency, are showing themselves to be just as reluctant to reduce their emissions since the emission reduction targets have been set.Global CO2 emissions should be limited to 42 Giga tons by 2030This is almost 12 Gt more than currently forecast. Estimated at 41 Gt for the year 2017, CO2 emissions are expected to reach 54 to 56 Gt by 2030, if nothing is done to change things. At the same time, the commitments made to Africa, particularly with regard to financing, i.e. a minimum of 100 billion per year from 2020, have not been met and the withdrawal of the United States from the Paris Agreement is very bad news in this respect.

 

  • Secondly, the effects of climate change and the accelerated desertification that a suicidal policy of deforestation has reinforced would justify an increased effort on adaptation policies. Thus, a vicious circle is set up, as the failure to meet mitigation objectives increases the need for adaptation policies.

 

  • Thirdly, and in contrast, the mobilization of civil society is increasing thanks to multilateral cooperation on climate, through international cooperative initiatives (ICI) on climate which can, depending on the case, link public and/or private actors, and take any form. In this context, the solutions agenda that brings together all these initiatives has led academics to speak of a groundswell of climate action. In addition to these multiple cooperation frameworks, there is a dynamic between technical experts, institutions linked to the United Nations Framework Convention on Climate Change (UNFCCC), and the connection with the sustainable development objectives, thus making it possible to respond to Article 6 of the Paris Agreement which establishes a link between climate and sustainable development. Finally, the use of “Name and Shame” as well as “Name and Fame” will play an increasing role for all state and non-state actors.

This observation leads to the recognition that a profound transformation in governance is taking place

  • First of all, we are witnessing a reversal of the pressure in favor of the fight against climate change, which is increasingly moving from civil society to the States and not the other way around, even if the States keep talking about mobilizing their population. The position taken by U.S. President Donald Trump, and the boomerang effect it has had on some states, starting with California, on major cities on both the East and West coasts of the United States, and on very large corporations, is a perfect illustration. The global awareness of citizens, which is perfectly reflected in the consensus conference organized in 2015 by the French National Commission for Public Debate, also attests to this. It is now the first victims of climate change but also the economic interests that rely on the transition and become the drivers of the transformation.

 

  • The real changes are made through new mechanisms that result from the global climate action agenda through international cooperation initiatives. The actions identified in the area of non-state actors for climate action are in particular cities and regions. Similarly, carbon finance and more generally the evolution of financial institutions is considerable. The improvement of transparency systems both in the reality of greenhouse gas emissions thanks to the implementation of new technologies and in the control of the effectiveness of the actions implemented is essential in this respect.

 

  • Finally, the law is being transformed in two ways. On the one hand, with the emergence of texts and in particular the Universal Declaration of Human Rights (DDHu) signed and supported by public entities and in particular large cities as well as private entities (NGOs, companies) and institutions (universities, many bars in the world), and personalities starting with Mr. Ban Ki-moon. On the other hand, with the rapid development of the climate justice, which creates a coalition between judges and civil society to compel states to act and to seek out those most responsible for greenhouse gas emissions in order to make them contribute to the damage they have caused, notably on the basis of the Heede report.

Thus, while all the signals are red, this climate issue that concerns humanity as well as other species is perhaps a tremendous sign of hope that reason and the instinct for conservation will prevail, establishing a global and local governance capable of responding to the challenges of the Anthropocene.

 

Watch the video of session 27 (“What governance in a world shaken by climate change?”) below:

Rencontres économiques

La présentation de la Déclaration aux Rencontres Economiques d’Aix-en-Provence 2018

La Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité a été présentée aux Rencontres économiques d’Aix-en-Provence lors de la journée du 8 juillet ayant pour problématique principale : Prendre en main notre avenir. Elle a été présentée plus spécifiquement à la session 27 : « Quelle gouvernance dans un monde ébranlé par le changement climatique ? ». Cette session aborde le refus de l’Accord de Paris par les Etats-Unis et interroge sur « la gouvernance des problèmes induits par les dérèglements climatiques » à adopter.

Dans le cadre de cet événement, a été communiqué la contribution écrite suivante.

08/07/2018

Auteur : Corinne Lepage

 


UN TRIPLE CONSTAT

 

Le dérèglement climatique est en passe de bouleverser le monde : la succession d’événements climatiques extrêmes avec ses tragédies humaines et ses coûts astronomiques, soit, selon l’agence océanique et atmosphérique 306 milliards de dollars et selon le réassureur Munich Re 330 milliards de dollars pour l’année 2017 c’est-à-dire un record de plus du double du coût de l’année 2016 soit 1720 dollars par seconde, la montée en puissance du phénomène de migration avec ses conséquences politiques, des difficultés croissantes d’alimentation. Mais le monde continue à faire croître ses émissions de gaz à effet de serre, malgré les rapports de plus en plus alarmants des scientifiques spécialistes du climat et de la biodiversité.

Le constat est celui d’une relative impuissance de la gouvernance climatique planétaire

La gouvernance actuelle est impuissante à respecter et faire respecter les engagements pris par l’Accord de Paris, et on ne peut nourrir que les plus grandes inquiétudes sur les deux processus qui doivent aboutir en 2018, à savoir : l’affirmation du Rulebook sur les mécanismes de coopération Nord-Sud et du dialogue de Talanoa pour faire un premier bilan à blanc des contributions des États dans le cadre de l’Accord de Paris.

  • Tout d’abord, les États qui se sont montrés réticents à définir leurs INDC (Contributions prévues déterminées au niveau national) et surtout à un niveau compatible avec le troisième et a contrario, avec l’urgence climatique, se montrent tout aussi frileux à réduire leurs émissions puisque les émissions mondiales de CO2 devraient être limités à 42 Giga tonnes d’ici 2030, soit presque 12 Gt de plus que les prévisions actuelles. Estimés à 41 Gt pour l’année 2017, les rejets de CO2 devraient atteindre 54 à 56 Gt d’ici 2030, si rien n’est fait pour changer les choses. Parallèlement, les engagements pris vis-à-vis de l’Afrique notamment en ce qui concerne les financements, soit un minimum de 100 milliards par an à partir de 2020, ne sont pas tenus et le retrait des États-Unis de l’Accord de Paris est à ce titre une très mauvaise nouvelle.

 

  • En second lieu, les effets du dérèglement climatique et la désertification accélérée qu’une politique suicidaire de déforestation renforcée justifieraient un effort accru sur les politiques d’adaptation. Ainsi, un cercle vicieux se met en place, l’impuissance à remplir les objectifs de l’atténuation accroissant les besoins des politiques d’adaptation.

 

  • En troisième lieu, et a contrario, la mobilisation de la société civile monte en puissance grâce à la coopération multilatérale sur le climat, à travers les initiatives coopératives internationales (ICI) sur le climat qui peuvent, selon le cas lier des acteurs publics et/ou privés, et prendre toute forme. Dans ce contexte, l’agenda des solutions qui regroupe l’ensemble de ces initiatives a conduit des universitaires à parler d’une lame de fond déferlant sur le monde de l’action climatique. A ces multiples cadres de coopération s’ajoute une dynamique entre experts techniques, institutions liées à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), et la mise en relation avec les objectifs de développement durable, permettant ainsi de répondre à l’article 6 de l’Accord de Paris qui établit un lien entre climat et développement durable. Enfin, l’usage du « Name and Shame » comme du « Name and Fame » est appelé à jouer un rôle croissant pour tous les acteurs étatiques ou non.

Ce constat conduit à reconnaître qu’une transformation profonde dans la gouvernance se met en place

  • Tout d’abord, on assiste à une inversion de la pression en faveur de la lutte contre le changement climatique qui se fait de plus en plus de la société civile vers les États et non l’inverse, même si les États ne cessent de parler de mobilisation de leur population. La position prise par le président américain Donald Trump, et l’effet boomerang qu’elle a suscité de la part de certains États fédérés, à commencer par la Californie, par les grandes villes de la côte Est des États-Unis comme de la côte Ouest et par de très grandes entreprises, en est la parfaite illustration. La prise de conscience planétaire des citoyens, que reflète parfaitement la conférence de consensus organisée en 2015 par la Commission nationale du débat publique française en atteste également. Ce sont désormais les premières victimes du changement climatique mais aussi les intérêts économiques qui s’appuient sur la transition et deviennent les moteurs de la transformation.

 

  • Les vrais changements se font à travers de nouveaux mécanismes qui résultent de l’agenda global de l’action climatique à travers les initiatives de coopération internationale. Les actions recensées sur la zone des acteurs non étatiques pour l’action climatique sont en particulier les villes et les régions. De même, la finance carbone et plus généralement l’évolution des institutions financières est considérable. L’amélioration des systèmes de transparence à la fois dans la réalité des émissions de gaz effet de serre grâce à la mise en place des nouvelles technologies et dans le contrôle de l’efficacité des actions mises en place est à cet égard essentiel.

 

  • Enfin, le droit se transforme doublement. D’une part, avec l’émergence de textes et en particulier la Déclaration universelle des droits de l’humanité (DDHu) signée et soutenue par des entités publiques et notamment des grandes villes comme des entités privées (ONG, entreprises) et des institutions (universités, de très nombreux barreaux dans le monde), et des personnalités à commencer par M. Ban Ki-moon. D’autre part, avec un développement fulgurant de la justice climatique qui crée une coalition entre juge et société civile pour contraindre les États à agir et pour rechercher les principaux responsables des émissions de gaz à effet de serre afin de les faire contribuer aux dommages qu’ils ont causé, notamment sur la base du rapport Heede.

Ainsi, alors que tous les signaux sont au rouge, ce sujet du climat qui concerne l’humanité comme les autres espèces est peut-être un formidable signe d’espoir pour que la raison et l’instinct de conservation l’emportent, instaurant une gouvernance globale et locale en capacité de répondre aux défis de l’anthropocène.

 

Retrouvez la vidéo de la session 27 (“Quelle gouvernance dans un monde ébranlé par le changement climatique?”) ci-dessous:

Corinne Lepage participe au Forum Women Leaders in Ecology&Development

The declaration will be presented at the Women Leaders in Ecology&Development Forum on July 6

The 10th edition of the
Women’s Forum on Ecology & Development
will be held in Guiyang, China on July 6, 2018. It is an international conference that aims to promote eco-civilization by bringing together world leaders from government, business, academia, media and civil society.

Discussions will include: the challenges of climate change, the challenge of the global climate crisis and the role of women in ecological governance.

Corinne Lepage, president of the Association of Friends of the Universal Declaration of Human Rights (UDHR), will present  on this occasion the 4 principles, 6 rights and 6 duties of the Universal Declaration of Human Rights.

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This event will include the participation of

 

Corinne Lepage participe au Forum Women Leaders in Ecology&Development

La déclaration sera présentée au Forum Women Leaders in Ecology&Development le 6 juillet

La 10e édition du Women’s Forum on Ecology & Development se tiendra à Guiyang en Chine le 6 juillet 2018. C’est une conférence internationale qui vise à promouvoir l’éco-civilisation en réunissant des leaders mondiaux du gouvernement, du monde des affaires, des universitaires, des médias et de la société civile.

Les discussions porteront notamment sur : les enjeux du changement climatique, le défi de la crise climatique mondiale et le rôle des femmes pour ce qui est de la gouvernance écologique.

Corinne Lepage, présidente de l’Association des Amis de la Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité (DDHu), présentera  à cette occasion les 4 principes, 6 droits et 6 devoirs de la Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité.

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A cet évènement participeront notamment :

 

Corine Lepage participe aux rencontres économiques d'Aix-en-Provence

The presentation of the Declaration at the 2018 Aix-en-Provence Economic Forum

From July 6 to 8, the Aix-en-Provence economic meetings on the metamorphosis of the world will take place. It is an international event organized by the Cercle des Économistes where 230 speakers from all over the world meet.

Corinne Lepage, President of the Association of Friends of the Universal Declaration of Human Rights and co-President of the Movement of the Entrepreneurs of the New Economywill be present as a speaker during the day of July 8, whose main issue will be Take control of our future. She will participate more specifically in session 27: “What governance in a world shaken by climate change? This session addresses the refusal of the Paris Agreement by the United States and questions the “governance of climate change induced problems” to be adopted. For more information on this session: https: //lesrencontreseconomiques.fr/2018/sessions/quelle-gouvernance-dans-un-monde-ebranle-par-le-changement-climatique/

 

To participate in the event, please register for free at: www.lesrencontreseconomiques.fr

Address of the event:

Aix-Marseille University
Schuman site
3 avenue Robert Schuman
Aix-en-Provence

Corine Lepage participe aux rencontres économiques d'Aix-en-Provence

La présentation de la Déclaration aux Rencontres Economiques d’Aix-en-Provence 2018

Du 6 au 8 juillet auront lieu les rencontres économiques d’Aix-en-Provence sur les métamorphoses du monde. C’est un évènement international organisé par le Cercle des Économistes où se réunissent 230 intervenants provenant du monde entier.

Corinne Lepage, Présidente de l’Association des Amis de la Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité et co-Présidente du Mouvement des Entrepreneurs de la Nouvelle Economie, sera présente en qualité d’intervenante lors de la journée du 8 juillet ayant pour problématique principale  Prendre en main notre avenir. Elle participera plus spécifiquement à la session 27 : «  Quelle gouvernance dans un monde ébranlé par le changement climatique ? ». Cette session aborde le refus de l’Accord de Paris par les Etats-Unis et interroge sur « la gouvernance des problèmes induits par les dérèglements climatiques » à adopter. Pour plus d’informations sur cette session : https://lesrencontreseconomiques.fr/2018/sessions/quelle-gouvernance-dans-un-monde-ebranle-par-le-changement-climatique/

 

Pour participer à l’évènement, veuillez vous inscrire gratuitement sur le site: www.lesrencontreseconomiques.fr

Adresse de l’évènement :

Université Aix-Marseille
Site Schuman
3 avenue Robert Schuman
Aix-en-Provence