Les Amis de la Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité soutiennent le film “Nous sommes l’Humanité”

Les Amis de la Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité soutiennent le film “Nous sommes l’Humanité”

 

Le 12 avril, Green Cross France et Territoires, l’association des Amis de la Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité, le Mouvement des Entrepreneurs de la Nouvelle Economie (MENE) ont co-organisé l’avant-première du film époustouflant : “Nous sommes l’Humanité” présenté par Alexandre Dereims, Claire Beilvert, réalisateur et productrice du film.

La description qui suit est extraite d’une publication Green Cross France et Territoires rédigée par Estelle Tschannen. 

Alexandre Dereims a filmé le dernier monde encore vierge des îles Andaman, et un peuple sur le point de disparaître. “Nous sommes l’Humanité” est leur témoignage, et nous donne une incroyable leçon d’humanité.

Imaginez que vous soyez né dans un paradis tropical, dans une île encore intacte où la nature est généreuse et magnifique. Imaginez que vous soyez né dans un monde de paix et de bonheur où tout le monde s’entraide et se respecte. Imaginez que vous ayez depuis toujours vécu totalement isolé du monde extérieur…

C’est la vie des Jarawas, le plus ancien peuple du monde, les premiers humains qui sont partis d’Afrique vers l‘Asie, il y a 70 000 ans… Mais aujourd’hui, ils sont menacé! Le gouvernement indien a programmé leur assimilation forcée. Les Jarawas ne sont plus que 400.

Alexandre Dereims, le réalisateur, lauréat du prix Albert Londres et Claire Beilvert, la productrice, les ont rencontrés pour alerter sur leur sort et transmettre leur message. Leur superbe film documentaire « Nous sommes l’Humanité » est l’unique témoignage de la plus ancienne des sociétés humaines. Le film sort le 2 mai au cinéma en France. Le film peut être vu par les enfants à partir de 7 ans. Venez en famille.

Bande annonce du film : http://bit.ly/2qsC0tv

Il y a plus de 3 ans l’équipe du film a lancé une campagne de sensibilisation et une pétition pour faire pression sur le gouvernement indien afin que les Jarawas soient enfin protégés. Elle a déjà réunie près de 245 000 signatures dans le monde. Vous pouvez la signer en ligne : http://bit.ly/2HwOTtT

Jarawas - Image 3

Pour en savoir plus :

– Interview vidéo réalisateur dans BRUT: http://bit.ly/2vcCdpm
– Site du film : https://www.jarawas.com
– Jarawa : un peuple au bord de l’extinction, objet de safaris humains, 29 août 2017, http://bit.ly/2HzqpQQ

Présentation de la Déclaration aux 260 invités de la soirée exceptionnelle organisée par l'OMECA

Présentation de la Déclaration aux 260 invités de la soirée exceptionnelle organisée par l’OMECA

Le Vendredi 16 Mars 2018, Corinne Lepage représentait l’association des Amis de la Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité. C’est à l’occasion de cette soirée organisée par l’OMECA (l’Organisation Mondiale des Experts – Conseils – Arbitres) qu’a été présenté la DDHu auprès des 260 invités présents. Parmi ces invités se trouver des représentants politiques et diplomatiques internationaux.

L’association des Amis de la Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité remercie l’OMECA pour cette opportunité exceptionnelle qui a permis une nouvelle fois de partager les valeurs portées par la DDHu.

La Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité soutient le droit de l’Humanité à vivre dans un environnement sain et écologiquement soutenables, elle propose également de considérer une interdépendance entre les espèces vivantes et d’assurer leur droit à exister.

Ecologic Pour l'article de la DDHu

L’Eco-organisme national ECOLOGIC appose une nouvelle signature à la DDHu !

En ce mardi 13 mars, Ecologic a apposé sa signature à la Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité (DDHu) en la personne de Monsieur René-Louis Perrier, Président d’Ecologic et en la présence de Madame Lepage, avocate et ancienne ministre de l’environnement et eurodéputée.

Ecologic est un éco-organisme agréé par l’Etat pour organiser la collecte, la dépollution et la valorisation des Déchets d’Equipements Électriques et Électroniques (DEEE) sur le territoire français. Investi d’une mission d’intérêt général, Ecologic fait à présent partie des entreprises ayant signé la DDHu!

Si vous aussi vous souhaiter apposer la signature de votre organisme à la Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité vous pouvez contacter l’association des Amis de la DDHu par courrier au 42 rue de Lisbonne 75008 Paris !

Signature 2IF photo 3

L’Institut International de la Francophonie signe la déclaration !

En ce mercredi 7 mars 2018, l’Institut International de la Francophonie (2IF) ajoute sa signature à la Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité.

Olivier Garro, directeur de 2IF, a reçu comme invités Madame Corinne Lepage (avocate, ancienne ministre de l’environnement et eurodéputée) et Nicolas Imbert (directeur de exécutif de Green Cross France & territoires).

Corinne Lepage et Nicolas Imbert ont ensuite animé une conférence-débat devant les étudiants de Master 2 et du Diplôme d’Université “Francophonie Nouvelle Économie et Développement durable” sur “Les Droits Universels de l’Humanité : enjeux et difficultés”.

 

CIB

Le CIB adopte une résolution relative à la DDHu

Réunie en congrès du 6 au 9 décembre dernier à Haïti, la Conférence Internationale des Barreaux (CIB) a adopté la résolution n°7 relative à la Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité consacrant les principes de :

  • responsabilité, d’équité et de solidarité intragénérationnelles et intergénérationnelles ;
  • dignité de l’humanité ;
  • continuité de l’existence de l’humanité ;
  • non discrimination ;

Lors de ce congrès, le CIB a affirmé son attachement aux principes de la DDHu et a rappelé le rôle essentiel de l’avocat dans la société civile. Aussi il a décidé d’adopter la Déclaration et s’engage à porter et à promouvoir ce texte.

 

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Aix Marseille 2

L’Université d’Aix-Marseille devient la première Université de France à signer la DDHu !

Le mercredi 21 février, l’association des amis de la DDHu était invitée par le Barreau de Marseille à l’occasion des Portes Ouvertes de l’Université d’Aix-Marseille.

Ce fut l’occasion pour nous de rencontrer l’équipe pédagogique de l’Université ainsi que les (futurs) étudiants présents et de leur présenter la Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité.

Aussi, le Doyen de la Faculté de droit et de science politique d’Aix-Marseille, Monsieur Jean-Philippe AGRESTI, a accepté de signer la DDHu au nom de l’Université d’Aix-Marseille.

 

 

La Déclaration Universelle des Droits de l'Humanité commentée article par article

La Déclaration commentée par article

Au mois de mars sort le livre “Déclaration Universelle des Droits de l’Humanité, commentaire article par article” afin de renforcer la légitimité du travail juridique qui a été fait sur cette déclaration.
Rédigée à l’initiative du président de la République française par une équipe de juristes spécialisés, sous la conduite de Corinne Lepage, la DDHu énonce de nouveaux droits et devoirs face à l’urgence climatique et à la relative impuissance des Etats à s’y consacrer.

La Déclaration universelle des droits de l’humanité repose sur l’énoncé de quatre grands principes :

  • Responsabilité, équité et solidarité ;
  • Dignité ;
  • Continuité de l’existence de l’humanité ;
  • Non-discrimination en raison de l’appartenance à une génération.

Son objectif est de concilier, de façon pérenne, les droits de l’homme, la dignité humaine et le maintien des droits de l’environnement pour l’ensemble de la planète.

Dans cet ouvrage, la Déclaration universelle des droits de l’humanité est assortie de commentaire, article par article, rédigés par Jean-Christophe Barboto, Baptiste Bonnet, Laurence Burgorgue-Larsen, Hubert Delzangles, Nicolas de Sadeleer, Edouard Dubout, Émilie Gaillard, Juilan Jernandez, Catherine Le Bris, Rafaelle Maison, Maurice Meda, Agnès Michelot, Laurent Sermet, Francois-Guy Trébulle, Sébastien van Drooghenbroeck et Claire Vial, tous des avocats spécialistes reconnus en droit de l’environnement, droit de l’homme et droit public.
Sous la direction de :
Christian Huglo est avocat au Barreau de Paris.
Fabrice Picod est professeur à l’Université Paris 2 Panthéon-Assas, Chaire Jean Monnet, et directeur du Centre de droit européen.
Lyon DDHu (2)

Le groupe Ecole de Commerce de Lyon signe la déclaration !

Mardi 23 janvier 2018, le groupe Ecole de Commerce de Lyon a reçu comme invité Madame Corinne Lepage, nommée par la Présidence de la République Française pour porter le projet de Déclaration Universelle Des Droits de l’Humanité au nom de la France devant l’ONU et en marge de la COP 21 pour une conférence sur le thème de :

“Les droits universels de l’humanité : enjeux et difficultés”

A l’issue de cette conférence, le groupe Ecole de Commerce de Lyon, qui représente 11 écoles à travers la France a signé la DDHu devenant ainsi la seconde entité académique, avec l’université de Modène en Italie, à signer la déclaration.

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FAQ – La Déclaration en 13 questions

  • Pourquoi une déclaration universelle des droits de l’humanité alors qu’il existe déjà déclaration universelle des droits de l’homme ? Le moment est venu parce que les enjeux ont changé. La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme dont l’application effective est plus que jamais nécessaire s’intéresse aux droits et libertés de chaque individu. Elle ne répond pas aux enjeux collectifs qui sont ceux des droits des générations futures, des biens publics, du changement climatique, de la sixième de destruction des espèces, de la mise en péril de la santé humaine, animale et végétale par la pollution chimique ou encore du transhumanisme. L’objet de la déclaration universelle des droits et devoirs de l’humanité est précisément de fixer les principes et les règles pour assurer une réponse adaptée.

 

  • Qu’est-ce que la DDHu ? La déclaration universelle des droits de l’humanité est le premier texte reconnaissant les droits et devoirs qu’a l’humanité pour assurer sa pérennité et celle des espèces vivantes face aux défis contemporains, écologique et technologiques. En bref, elle pose les bases d’un intérêt général planétaire dont la société civile est le principal acteur et le garant plus que les Etats. C’est la raison pour laquelle c’est le seul texte à ce jour qui soit signé à la fois par des entités la déclaration publiques, des organisations non-gouvernementales, des entreprises, des universités et des citoyens.

 

  • Comment est né ce texte ? Ce texte est né d’une initiative du Président la République française dans le cadre de la préparation de la cop 21 ; il a chargé Madame Lepage de rédiger un texte fixant la responsabilité des générations actuelles au regard des grands enjeux climatiques et écologiques. Par la suite, la société civile sous toutes ses formes, entités publiques, barreaux, O.N.G. s’est emparé de la Déclaration pour la soutenir par le plus grand nombre.

 

  • A quoi sert la DDHU ? : élaborée sous forme d’une déclaration, au contenu extrêmement simple (4 principes, 6 droits, 6 devoirs), la déclaration a non seulement une portée morale et fédératrice d’un projet pour l’humanité ; elle est aussi un acte juridique que chacun pourra utiliser. À cet égard, dans deux mois sortira un ouvrage de commentaires article par article par 16 professeurs de droit de la déclaration qui mettront en lumière la capacité jurisprudentielle de chacun des articles. Elle s’inscrit comme base au grand mouvement lancé sur la justice climatique et qui va progressivement s’étendre à tous les domaines qui concernent la dignité et les droits de l’humanité. C’est un outil au service de tous ceux qui veulent agir en faveur de la pérennité de la vie sur Terre.

 

  • À quoi s’engage t’on en signant la déclaration ? La signature de la déclaration est avant tout un engagement moral de respecter les droits et surtout les obligations qui y figurent. Mais c’est également un engagement juridique. Autrement dit, le non-respect des obligations pourrait être invoqué comme il en va déjà des chartes et divers déclarations souscrites par des entités publiques et privées. Sa force vient de son caractère moins formaliste que d’autres actes, de l’importance de sa diffusion dans la société civile, dans les collectivités publiques comme dans le secteur privé et surtout de son contenu.

 

  • Qui peut signer la déclaration et comment ? Tout individu, toute entité publique ou privée peut signer la déclaration directement sur le site ( https://droitshumanite.fr/sign/ ) ou de manière plus formaliste en organisant une manifestation de signature de la déclaration avec un représentant de l’association des amis de la déclaration.

 

  • Qu’est-ce que l’association des amis de la déclaration universelle des droits de l’humanité ? Il s’agit d’une association destinée à réunir les signataires de la déclaration et à définir la stratégie de développement pour obtenir le plus de soutiens possibles. Cette association présidée par Corinne Lepage s’appuie sur un conseil d’administration, sur des ambassadeurs au nombre d’une vingtaine et sur les signataires qui eux-mêmes acceptent de soutenir activement la déclaration.

 

  • Qui a signé jusqu’à ce jour ? Des villes comme Strasbourg, Paris ou Modène, des régions comme la région de Tanger Tétouan, un État, de très nombreux barreaux français, européens, africains, des O.N.G. des milliers de citoyens et des personnalités venues de monde très différents comme Matthieu Ricard, Edgar Morin, Jean-François Clervoy, Yann Arthus Bertrand et bien d’autres.

 

  • Que peut-elle apporter à une ville ou une région ? Le maire de Strasbourg, premier à signer la déclaration, a parfaitement répondu à cette question. Depuis lors, toutes les villes qui ont adopté la déclaration l’on fait à l’unanimité, quelle que soit la sensibilité politique. Cela signifie tout simplement que les villes, les départements les régions et plus généralement les collectivités publiques sont aujourd’hui les premiers acteurs et garants auprès de leurs concitoyens de l’adaptation aux transformations indispensables et de la sécurité à court et à long terme.

 

  • Que peut-elle apporter à une entreprise ? Le statut de l’entreprise dans la société change profondément. Au-delà de sa fonction première de production, l’entreprise a plus que jamais besoin de sens pour elle-même et ses salariés. La responsabilité sociale et environnementale fait maintenant partie intégrante du droit. De plus, un certain nombre de pays reconnaissent désormais comme en France un devoir de vigilance ou comme aux États-Unis une responsabilité des sociétés mères pour leurs filiales. Dans tous les cas de figure, l’adhésion à la déclaration universelle des droits de l’humanité affirme pour une entreprise son sens des responsabilités, sa volonté de s’inscrire dans le long terme et de participer à la définition d’une forme d’intérêt général planétaire ce qui est de plus en plus demandé par ceux qui y travaillent comme par la Société.

 

  • Que peut-elle apporter à une ONG ? Quel que soit l’objet de l’ONG, y compris droits de l’homme, l’adhésion à la déclaration universelle des droits de l’humanité ne peut que conforter et renforcer son action en l’inscrivant dans l’intergénérationalité et le long terme ainsi que dans une vision globale, et ce sans qu’il y ait la moindre compétition entre les organisations. C’est en effet le partage d’un combat commun pour un avenir viable et souhaitable qui est au cœur de toutes les actions les organisations non-gouvernementales.

 

  • Que peut-elle apporter un barreau ? Les avocats sont les fers de lance de la déclaration universelle. Tous barreaux français, la conférence des barreaux européens, sans doute bientôt une partie du barreau international, 19 barreaux africains et européens ont adhéré à la déclaration. Il est naturel que ce texte soit porté par les avocats, et à terme les avocats du monde entier, tout simplement parce qu’il est dans l’ADN d’un avocat de défendre les droits et que l’humanité plus que tout autre entité a besoin d’être défendue.

 

  • Que peut-elle apporter à une université ? La première université à signer la déclaration a été celle de Modène en Italie et la seconde sera celle d’Aix-en-Provence. Il est évident qu’une université qui a la double caractéristique de porter la recherche et l’enseignement d’une part la jeunesse d’autre part doit être par définition une partie active dans fait de la déclaration universelle des droits de l’humanité.